L’Institut Tamberma pour la Gouvernance (ITG), dirigé par Paul Amégakpo, a exhorté à une inclusion plus large des critiques de la nouvelle Constitution dans les discussions pour éviter une paralysie nationale.
Amégakpo a souligné que, bien que la contestation soit légitime, le gouvernement doit prouver que la nouvelle Constitution est bénéfique pour la stabilité et le développement du pays. Il a donc encouragé l’opposition à accepter sa situation actuelle, notant que leur absence de poids significatif a facilité la nomination d’un Premier ministre pro-gouvernemental.
Le premier responsable de l’ITG a aussi insisté sur le droit de l’opposition à exprimer son désaccord, compte tenu de son exclusion du processus de révision. Un appel est d’ailleurs lancé dans ce sens, afin d’encourager un consensus entre le gouvernement et l’opposition sur la mise en œuvre de la Constitution, encore controversée.