Beaucoup sont contre la révision constitutionnelle votée à l’Assemblée nationale il y a cinq jours. Le chef de l’Etat demande une seconde relecture du texte.
Ce mardi 25 mars, le Togo bascule dans le régime parlementaire. La loi fondamentale instituant le régime semi-présidentiel a été supprimée. La plupart des partis politiques de l’opposition et de la société civile sont contre cette révision de la Constitution. Et s’organisent pour faire échec à ce qu’ils appellent un énième coup de forme des tenants du pouvoir.
Ce vendredi 29 mars, dans un communiqué, Faure Gnassingbé, le président de la République, demande à l’Assemblée nationale une seconde relecture de la loi portant révision de la Constitution.
Affaire à suivre.