Le Togo surclasse le Bénin, la Côte d’Ivoire, le Mali et le Burkina Faso dans ce prestigieux classement

Le Togo a surclassé le Bénin, la Côte d’Ivoire, le Mali et le Burkina Faso dans ce prestigieux classement dévoilé par la Banque Mondiale.

En effet, Lomé a été classé premier en Afrique de l’Ouest dans le rapport Business Ready de la Banque mondiale, qui évalue les performances en matière de climat des affaires et des investissements.

Selon l’institution bancaire internationale, Business Ready remplace désormais Doing Business et offre une approche plus transparente et équilibrée de l’évaluation du climat des affaires et des investissements.

Ce mécanisme évalue l’environnement économique des entreprises et s’articule autour de trois piliers, à savoir le cadre réglementaire, les services publics et l’efficacité opérationnelle.

Plus spécifiquement, l’évaluation de Business Ready porte sur dix indicateurs essentiels liés au cycle de vie des entreprises, à savoir : la création d’entreprises, l’emplacement des entreprises, les services d’utilité publique, la main-d’œuvre, les services financiers, le commerce international, la fiscalité, le règlement des litiges, la concurrence sur le marché et l’insolvabilité de l’entreprise.

Pour ces « remarquables performances », le Togo s’est classé premier en Afrique de l’Ouest et troisième en Afrique subsaharienne en devançant le Bénin, la Côte d’Ivoire, le Mali et le Burkina Faso.

Lomé s’est particulièrement distinguée sur les questions relatives à la gouvernance économique, notamment dans les rapports Doing Business, l’évaluation des politiques et institutions nationales pour l’Afrique (CPIA), et le rapport Women, Business and the Law.

Au niveau du pilier « cadre réglementaire », le Togo s’illustre en occupant la 2ᵉ place sur 14 pays, derrière le Rwanda.

Selon l’ATOP, ces « brillants résultats » traduisent l’efficacité des réformes réalisées ces dernières années par le président Faure Essozimna Gnassingbé et son gouvernement.

L’exécutif reste résolument engagé à maintenir le cap des réformes pour assurer l’attractivité de l’économie et libérer pleinement le potentiel du secteur privé au Togo, poursuit la même source.

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