Le Maroc va bientôt s’enrichir immensément grâce aux États-Unis et à la Turquie

Dans le cadre de son programme pour 2025, le Maroc vise à renforcer l’équilibre de sa balance commerciale avec plusieurs partenaires internationaux, notamment ceux avec lesquels il a signé des accords de libre-échange, tels que les États-Unis, la Turquie, et l’Union européenne.

L’objectif est de réduire le déficit commercial et de maximiser les bénéfices des accords existants, tout en explorant de nouvelles opportunités avec d’autres pays, comme la Corée du Sud.

Le Maroc veut mieux profiter de ses accords avec les États-Unis et la Turquie

Le Maroc cherche à renforcer son partenariat avec les États-Unis en s’appuyant sur la loi américaine sur le contrôle de l’inflation (Inflation Reduction Act) de 2022.

Cette loi promeut les investissements dans les énergies propres et l’innovation tout en visant à diminuer la dépendance des chaînes d’approvisionnement étrangères.

En instaurant un dialogue régulier avec les États-Unis, le Maroc espère maximiser les avantages de son accord de libre-échange et tirer parti des incitations fiscales américaines, notamment pour encourager l’exportation de produits marocains vers le marché américain.

Concernant la Turquie, le Maroc entend rééquilibrer les échanges en adoptant plusieurs mesures pour protéger son marché.

Le programme de 2025 du ministère de l’Industrie et du Commerce prévoit un accès préférentiel pour certains produits de la pêche et des matières agricoles transformées marocaines.

Par ailleurs, il encourage les entreprises turques établies au Maroc à se fournir localement, afin de stimuler l’économie nationale.

Le ministère envisage également de réviser la liste des produits exclus de l’accord de libre-échange avec la Turquie, afin de mieux protéger les secteurs vulnérables face à la concurrence turque.

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