Les activités inscrites dans le cadre de la formation des experts togolais au programme de Surveillance mondiale pour l’environnement et la sécurité (GMES) se déroulent bien.
Au deuxième jour le 18 juin 2025, les participants ont eu à capitaliser sur l’expérience ghanéenne en matière de prévision des conditions météorologiques et de l’état de la mer qui sont des produits issus de ces prévisions au niveau du Ghana que peuvent appliquer au niveau du Togo, vu que le Togo et le Ghana sont des pays voisins et qu’ils partagent une frontière maritime ensemble.
Aujourd’hui, nous avons eu à capitaliser sur l’expérience ghanéenne en matière de prévision des conditions météorologiques et de l’état de la mer qui sont des produits issus de ces prévisions au niveau du Ghana qu’on peut appliquer au niveau du Togo, vu que nous sommes des pays voisins et que nous partageons une frontière maritime ensemble.
“Donc ces formations, ou ces thématiques, dirais-je, de ce matin, sont les points d’entrée qui vont permettre aux participants de savoir un peu ce que les Ghanéens font qu’est-ce qu’ils ont comme atouts ou bénéfices par rapport aux produits ou aux services qu’ils donnent à leurs utilisateurs, qui sont beaucoup plus les pêcheurs, et aussi les difficultés qu’ils rencontrent en termes de production, de l’information météorologique et de l’état de la mer au niveau du Ghana” a confié DIYANI Sinandja Issifou, Responsable de la météorologie maritime à la préfecture maritime.
Le point important relatif à la provision des impacts a été aussi abordé. Il concerne beaucoup plus comment faire la position de l’information afin de s’assurer que les biens et les personnes sont protégés parce que toute prévision, tout système d’alerte, où une alerte est mise auprès des usagers est toujours suivie par des impacts. “Donc il faut montrer aux utilisateurs ou aux participants si les impacts sont élevés ou faibles en fonction du niveau de vulnérabilité des personnes ou des biens ou du matériel exposés le long de la côte” a ajouté DIYANI Sinandja Issifou.
Projet phare de l’Union africaine et mis en œuvre en partenariat avec l’Union européenne, le programme GMES aide les institutions africaines à développer des services d’OT pour une prise de décision éclairée dans des domaines cruciaux tels que la surveillance environnementale, la gestion des ressources et la réduction des risques de catastrophe.