Excellente nouvelle pour le Bénin de Patrice Talon ; les États-Unis annoncent…

L’heure est à la bonne humeur au Bénin de Patrice Talon après la dernière sortie de l’agence Standard & Poor’s (S&P) des États-Unis.

Concrètement, le pays d’Afrique de l’Ouest vient de recevoir un signal fort de confiance de la part de l’agence de notation financière Standard & Poor’s (S&P).

Dans les faits, le 16 octobre 2024, S&P a non seulement confirmé la note « BB-«  du pays, mais a également rehaussé sa perspective de « stable » à « positive ».

Comment le Bénin de Patrice Talon a réussi cet exploit ?

L’évaluation de Standard & Poor’s (S&P) envers le Bénin est favorable pour plusieurs raisons.

Tout d’abord, il faut reconnaitre que depuis l’arrivée de Patrice Talon, le Bénin connait une vitalité économique incroyable.

Et pour cause, le pays montre une croissance du PIB de 6,4% en 2023. Et cela ne s’arrête pas à cette année. Les projections sont déjà dans une tendance haussière.

En effet, elles sont dans la moyenne de 6,6% pour les années à venir.

Ces améliorations ne viennent pas de nulle part. Elles proviennent de l’impact des réformes mises en place par l’exécutif. C’est encore plus le cas avec l’important soutien que reçoivent la zone industrielle de Glo-Djigbé et l’extension du Port de Cotonou.

Ensuite, il convient de soulever que le pays affiche des progrès de taille lorsqu’il est question du cadre budgétaire.

Qui plus est, le déficit devrait être fortement réduit d’ici la fin de l’année prochaine. Concrètement, il devrait passer sous la barre des 3%. Ce qui permettrait au pays de respecter les normes communautaires.

Enfin, la dette publique suit également une trajectoire encourageante. S&P prévoit une réduction progressive, passant de 54,5% du PIB en 2023 à environ 50% en 2026.

Cette évolution est aussi jugée soutenable par l’agence. La raison étant qu’elle repose sur une discipline budgétaire stricte, une croissance économique soutenue et l’accès à des financements concessionnels.

Il n’est donc pas difficile de comprendre la logique de l’agence américaine de revoir à la hausse son appréciation du Bénin.

source