En visite à Moscou, ce président africain pose un acte qui ne plaira pas à la France et ses alliés

En visite à Moscou, le président congolais Sassou-Nguesso a posé un acte qui risque de ne pas être du goût des occidentaux.

En effet, le chef d’État congolais Sassou-Nguesso, a atterri à Moscou, la capitale de la fédération de Russie le mardi 25 juin 2024.

Au cours de cette visite, le président congolais a rencontré son homologue russe, Vladimir Poutine.

Les deux chefs d’État ont eu un tête-à-tête le jeudi 27 juin 2024. À sa sortie d’audience, le président congolais a tenu un discours qui ne plaira pas forcément à l’occident.

En effet, le dirigeant africain a, face aux caméras, tenu à féliciter le peuple russe pour « son courage et sa résilience ».

Courage et résilience « face aux sanctions très difficiles qui sont imposées à votre pays à la suite du conflit qui vous oppose à l’Ukraine, et peut-être à d’autres », a déclaré Denis Sassou-Nguesso.

« Mais c’est au moment des grandes épreuves que nous devons resserrer les liens et avancer », a-t-il ajouté.

Soulignons que le chef d’État congolais s’était rendu en Russie pour la commémoration des 60 ans des relations diplomatiques entre Brazzaville et Moscou.

Au cours de son discours, Denis Sassou-Nguesso a également tenu à exprimer sa gratitude au Kremlin.

« C’est ici que les peuples africains ont trouvé le ressort, les capacités de résistance à la colonisation et pour leur libération. (…) Cette lutte continue sous des formes différentes. Mais elle continue puisque les peuples d’Afrique sont toujours en lutte pour leur libération effective », a-t-il affirmé.

Il a également souhaité aux deux pays soixante nouvelles années de coopération « solide ».

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