Cristiano Ronaldo, star mondiale du football, fait face à une accusation inattendue : un chirurgien esthétique portugais affirme que le joueur ne lui aurait pas réglé une somme de 48 000 euros pour une intervention réalisée en 2022.
Cette plainte, déposée récemment, soulève des questions sur une transaction qui, selon le médecin, n’a jamais été honorée.
Le chirurgien, dont l’identité n’a pas été largement divulguée, aurait fourni des services esthétiques à l’attaquant portugais.
Les détails exacts de l’intervention restent flous, mais il s’agirait d’un traitement visant à entretenir l’image publique du joueur, souvent mise en avant dans les médias et sur les réseaux sociaux.
Malgré plusieurs tentatives de règlement à l’amiable, le médecin aurait décidé de saisir la justice pour obtenir réparation.
Cristiano Ronaldo, actuellement joueur d’Al-Nassr en Arabie saoudite, n’a pas encore officiellement répondu à cette plainte.
Cependant, son entourage et ses conseillers légaux réfutent généralement ce type d’accusation, souvent perçues comme des tentatives de profiter de la notoriété du footballeur.
Cette affaire intervient dans un contexte où les célébrités sont régulièrement confrontées à des litiges financiers avec des prestataires ou des partenaires commerciaux.
Pour le chirurgien, cette démarche est avant tout une question de principe. Il espère non seulement obtenir le paiement des 48 000 euros, mais aussi souligner l’importance pour des figures publiques de respecter leurs engagements financiers, quelle que soit leur stature.
Le litige pourrait cependant rester en suspens, car aucune date d’audience n’a été communiquée pour le moment. Ce genre de conflit, impliquant des célébrités de haut niveau, attire souvent une grande attention médiatique, ce qui pourrait compliquer davantage la résolution du différend.
Reste à voir si cette affaire se réglera discrètement ou si elle prendra une ampleur publique, avec des répercussions potentielles sur l’image du joueur.
Ce type de litige rappelle que, malgré leur statut, les figures publiques ne sont pas à l’abri des contestations liées à leur vie privée et professionnelle. Nous y reviendrons.