Côte d’Ivoire : rebondissements dans l’affaire de l’homme qui s’est jeté du pont de Gaulle

En Côte d’Ivoire, des révélations ont surgi sur l’identité de l’homme qui s’est jeté du haut du pont de Gaulle.

Selon les informations, ce dernier serait un gendarme, plus précisément le commandant de brigade d’Attécoubé. Il se serait marié en 2015 au plateau et serait père de 4 enfants.

Toujours selon d’autres sources, il se serait sµicidé à cause d’une femme qu’il aurait aidé à quitter le pays. Voir la photo ci-dessous :

Côte d'Ivoire Pont de Gaulle

Pour l’heure, les proches du gendarme ne se sont pas prononcés sur son acte qui a choqué la Côte d’Ivoire, mais les internautes ont trouvé triste le fait qu’il ait décidé de mettre fin à sa vie en se jetant du haut du pont de Gaulle. Voici quelques réactions :

La pression est tellement forte pour tout le monde. On est là souvent à envier ceux qui sont dans les voitures, pourtant, on vit tous les mêmes pressions. Personne, je dis personne n’est à l’abri de la dépression. Aidons-nous vivants, prenons soin des uns et des autres ».

« La dépression fait ravage. Soyons aimable avec notre entourage. Un seul acte, une seule parole mal placée peut pousser quelqu’un vers le point de non-retour ».

« Parfois, lorsque quelqu’un vit sous le poids de la dette, ou vit un chantage explosif ou encore subi des menaces qui vont causer d’énormes dégâts dans sa famille, son entourage, etc. Il peut facilement choisir le suicide comme option ».

« Il faut être mentalement fort pour surmonter certains problèmes de la vie. Avant en Afrique, il y avait de la famille, des amis, la solidarité, ce qui faisait que les gens se sentaient moins seuls face aux problèmes quotidiens. Ton problème était celui de ta famille et de ta société.

Aujourd’hui, on vit comme les Européens, chacun dans son chacun même dans une même famille. À peine, si les voisins d’un même immeuble se saluent. Et on ne sait plus à qui expliquer ses problèmes.

Tu trouves quelqu’un, à la moindre mésentente, il dit tes secrets à tout le monde. Ça me fait pitié et j’ai mal pour nos enfants de demain. Aucune pitié, aucune solidarité, trop d’individualisme. Que nos ancêtres raniment en nous les valeurs africaines en perdition dans nos sociétés« .

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