Classement des meilleurs universités au monde : l’Afrique fièrement représentée par le Ghana, le…

C’est un véritable exploit que vient de réaliser les universités d’Afrique comme le montre le dernier classement de Shanghai. En effet, celui-ci révèle une présence de centre de savoir africains plus affirmée que jamais.

Concrètement, avec 20 universités classées en 2024, contre seulement 5 en 2014, le continent affiche une progression significative.  Ce faisant, c’est une preuve que l’Afrique continue ainsi de gravir les échelons de l’enseignement supérieur mondial

Néanmoins, si pris en globalité, le continent sort victorieux, certains pays sont à plus féliciter que d’autres.

Ainsi, si l’Afrique du Sud et l’Égypte dominent toujours le classement, avec respectivement 8 et 7 universités classées, de nouveaux pays émergents.

Le Ghana, l’Éthiopie, la Tunisie et le Maroc ont fait leur entrée dans ce palmarès prestigieux, témoignant d’une dynamique positive dans ces pays.

Des indicateurs de progrès pour les universités d’Afrique dans le classement

Cette amélioration du classement de l’Afrique parmi les plus grands s’explique par plusieurs facteurs.

En effet, il faut savoir que les investissements ont été multipliés. Dans les faits, les gouvernements africains ont commencé par accorder une importance croissante à l’enseignement supérieur, en investissant massivement dans la recherche et l’innovation.

Qui plus est, la présence des collaborations internationales s’est accrue. Les universités africaines multiplient en effet les partenariats avec des institutions étrangères, favorisant ainsi les échanges et le transfert de connaissances.

Finalement, il ne faut pas oublier le plus important : une amélioration de la qualité de l’enseignement. En effet, les établissements africains mettent en œuvre des réformes pour améliorer la qualité de leurs programmes et attirer les meilleurs étudiants.

Néanmoins, si l’Afrique commence enfin à prendre le pas et à faire exceller ses universités, il ne faut pas oublier que ce n’est que le début. Seul l’avenir nous dira si le continent va continuer sur la même lancée.

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