Pas de répit pour l’ex-international Camerounais et actuel président de la Fédération camerounaise de football (Fecafoot), Samuel Eto’o, ces derniers jours.
Alors qu’il se trouve actuellement au sein d’une controverse avec son ministère de tutelle, mais également avec la Confédération africaine de football (CAF), l’ex-gloire du ballon rond est éclaboussée par une nouvelle affaire.
En effet, selon les plateformes d’informations camerounaises, un hôtel situé à Yaoundé, la capitale politique du Cameroun, réclame plus de 4,5 millions de FCFA à Samuel Eto’o.
Selon les informations d’Actu Cameroun et de Camerounactuonline, ledit hôtel réclame exactement la somme de 4 536 100 FCFA (quatre millions cinq cent trente-six mille cent francs CFA), au patron de l’instance faîtière du football camerounais.
Cette somme correspond selon les médias susmentionnés à ses « différents hébergements, séminaires et consommations ».
Dans une mise en demeure relayée par les plateformes locales d’informations, l’établissement appelle l’ex-international « à procéder au règlement intégral des sommes dues dès réception » du courrier.
Voici l’intégralité de la lettre adressée à Samuel Eto’o, président de la Fecafoot.
Objet : Mise en demeure
Monsieur le Président,
Suite à une multitude de relance (par courrier ; téléphonique) vous êtes resté indifférent et en examinant nos comptes, nous avons constaté, sauf erreur ou omission de notre part que vous n’avez toujours pas à ce jour régler la somme de 4 536 100 FCFA (QUATRE MILLIONS CINQ CENT TRENTE SIX MILLE CENT FRANCS CFA) correspondant à vos différents hébergements, séminaires et consommations.
Par la présente nous vous rappelons vos obligations et vous invitons à procéder au règlement intégral des sommes dues dès réception de la présente.
À défaut d’un retour de votre part dans les huit jours suivant la réception du présent courrier, nous serons contraints d’engager une procédure de recouvrement judicaire dont les frais seront à votre charge et vous exposerez dès lors au calcul des intérêts de retard.
Si toutefois vous aviez procédé au règlement desdites sommes, nous vous demandons de ne pas tenir compte de ce courrier.
Dans cette attente, nous vous prions d’agréer, Monsieur nos salutations distinguées.
P.J
Extrait de l’état de votre compte. »