L’affaire Baltasar continue de faire polémique et de susciter de nombreuses réactions.
Le week-end dernier, l’affaire Baltasar s’est répandue sur les réseaux sociaux et dans le monde entier telle une traînée de poudre.
Au cœur de cette affaire devenue un buzz international, une histoire de 400 sextapes mettant en scène, un haut cadre de la Guinée-Équatoriale.
Baltasar Ebang Engonga, puisque c’est de lui qu’il s’agit, fils du président de la Communauté Économique et Monétaire d’Afrique centrale (CEMAC), a choqué le monde avec ses 400 vidéos à caractère sexuel, voire pornographique.
Plusieurs jours après la fuite de ces vidéos le mettant en scène avec une panoplie de femmes dont des femmes mariées à de hauts cadres de l’administration équato-guinéenne, l’affaire continue de faire couler beaucoup d’encre et de salive en Afrique et au-delà des frontières africaines.
Selon les informations rapportées par plusieurs médias, la première dame du pays, Constancia Mangue Obiang, s’est exprimée par rapport à cette affaire.
L’épouse du président équato-guinéen a exprimé son mécontentement face aux répercussions de cette affaire sur la dignité féminine dans le pays.
Pour la Première Dame de la Guinée-Équatoriale, cette histoire ternit au plus haut point, l’image de la femme équato-guinéenne, mais également, porte atteinte à son image (de la femme équato-guinéenne).
“Cela ne fait que déformer et dénigrer l’image de la femme équato-guinéenne », a-t-elle affirmé.
Selon Senenews, « dans une déclaration publiée le jeudi 7 novembre 2024 sur sa page Facebook officielle, la Première Dame a demandé une intervention rapide du gouvernement.
Elle a souligné l’importance de protéger la vie privée des femmes à l’ère numérique et a plaidé pour des mesures proactives visant à garantir leur sécurité et leur respect dans la société équato-guinéenne ».
Par ailleurs, notons que suite à la fuite de ces vidéos intimes qui ont provoqué une crise médiatique dans ce pays de l’Afrique centrale, Baltasar Ebang Engonga a été démis de ses fonctions par les autorités.