En Guinée-Équatoriale, l’affaire de sext@pes du fils de l’actuel président de la commission de la CEMAC, Baltasar Ebang Engonga, est devenue un sujet d’Etat.
Après la sortie du Procureur général qui a décidé de mener une enquête pour savoir si l’auteur était un porteur d’une maladie infectieuse qu’il aurait voulu transmettre, les autorités politiques du pays aussi ont réagi.
Le vice-président de la Guinée-Équatoriale s’est exprimé sur le sujet en indiquant une première décision qui a été prise.
« Les relations s€xuelles sont interdites dans les bureaux. Des mécanismes de contrôle sont déjà en place et toute personne qui enfreindra à nouveau cette règle sera sanctionnée pour faute et sera licenciée », a déclaré Teodorin Obiang.
Le vice-président équato-guinéen a aussi déploré les répercussions que ce scandale aurait sur la situation des familles dans le pays.
« La sécurité nationale est en danger.
Notre structure familiale risque de s’effondrer avec des multitudes de séparation, de violences.
Cette situation risque d’avoir des conséquences incalculables sur notre société et notre économie », a souligné Teodorin Obiang.
Pour rappel, plus de 400 vidéos sext@pes de Baltasar Ebang Engonga ont fuité sur la toile depuis quelques jours.
Détenu pour détournement de fonds depuis plusieurs mois, l’homme avait les vidéos dans son ordinateur et ce sont les agents de police qui détiennent son appareil pour des raisons d’enquêtes qui auraient fait futer les vidéos.