Samedi, une nouvelle attaque terroriste a frappé l’armée togolaise à Kpékpankandi, dans le nord du pays, entraînant de lourdes pertes humaines. Douze vaillants soldats ont péri, et plusieurs autres ont été blessés, ajoutant aux dégâts matériels.
Cet acte, parmi les plus meurtriers que le pays ait connus, a profondément choqué la population togolaise. Après Freedom Togo-Mouvement de la Libération Nationale, c’est au tour de l’Association des victimes de la torture au Togo (ASVITTO) de condamner fermement cette barbarie.
« L’ASVITTO est vivement préoccupée par les informations relatives à la recrudescence des attaques terroristes qui auraient fait encore de nombreuses pertes en vies humaines dans les rangs de nos militaire », a déclaré Kao Atcholi, président de l’association, sur X (Twitter).
Présentant ses sincères condoléances aux familles endeuillées et aux forces de sécurité, l’ASVITTO appelle le chef de l’État et les autorités gouvernementales à « l’amélioration des conditions de travail et de vie des militaires sur le front afin de réduire considérablement ces pertes en vies humaines qui paralysent les familles ».
Face à la recrudescence des attaques terroristes, la question de l’amélioration des conditions de travail de les Forces armées togolaises (FAT) devient cruciale. Des mesures concrètes devraient être prises pour renforcer la sécurité et le bien-être des soldats déployés sur le front. Cela inclut la fourniture d’équipements adéquats, l’amélioration des infrastructures de soutien et des programmes de formation continue pour faire face à la menace croissante.