(Togo Officiel) – Après une année 2023 marquée par des performances économiques robustes, le Togo devrait poursuivre sur sa dynamique. Pour 2024, le ministère de l’économie et des finances prévoit ainsi un taux de croissance du PIB réel de 6,6%, en légère hausse par rapport aux 6,4% estimés pour l’année dernière.
Ces projections, dévoilées dans le dernier bulletin trimestriel sur les perspectives économiques, annoncent également une inflation en baisse à 2,7%.
Le Togo prévoit une croissance de 6,6% en 2024, avec une inflation en baisse à 2,7%. Les réformes économiques et les investissements, comme la Plateforme Industrielle d’Adétikopé, stimulent cette dynamique. #Togo #Économie #Croissancehttps://t.co/Hir00zMzEt pic.twitter.com/0RaU4FunI2
— Togoreforme (@togoreforme) June 13, 2024
Concrètement, cette “croissance robuste” devrait être portée par les différents secteurs, informe le Secrétariat permanent pour le suivi des politiques de réformes et des programmes financiers : “Le secteur primaire devrait croître de 4,6%, grâce à l’agriculture, l’élevage et la pêche. Les secteurs secondaire et tertiaire devraient connaître une croissance de 7,0% et 7,2% respectivement, stimulée par l’agroalimentaire, les matériaux de construction, l’électricité, le gaz, le BTP, les activités manufacturières, le commerce, les transports et les services d’hébergement et de restauration”, détaille la structure gouvernementale.
Croissance annuelle moyenne de 7% jusqu’en 2026
Par ailleurs, il est prévu une croissance annuelle moyenne de 7% entre 2024 et 2026, soutenue notamment par les projets et réformes de la feuille de route gouvernementale, dont la Plateforme Industrielle d’Adétikopé (PIA) lancée il y a trois ans, qui continue d’attirer des acteurs économiques.
Pour le ministère de l’économie et des finances, ces perspectives économiques “montrent un Togo en plein essor, avec des politiques et des réformes visant à renforcer la croissance économique, à stabiliser l’inflation, à réduire le déficit commercial et à améliorer la gestion de la dette”.
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